Les Émissaires Germains

Admin Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 03/09/2007

Nous sommes les Émissaires Germains, composés en grande majorité d'hommes du Nord, des barbares comme diraient mes anciens concitoyens de Corinthe. Nous sommes des émissaires, mais nos membres limogent la diplomatie. Voici notre histoire...

Extrait du Journal des Émissaires

Paroles d'Avensen

Code:: Notre terre natale est surpeuplée, les hommes du Sud viennent s'y approvisionner en ressources depuis nombre d'années, volant à la Terre toute sa magie ancestrale, souillant le sol de leurs âmes impures. Bientôt, les esprits de nos ancêtres quitteront notre terre, la vidant ainsi de toute énergie, de toute vie. Et pour nous, hommes de chair, que restera-t-il sauf misère? Les envahisseurs nous prennent tous, déjà que nos réserves sont épuisées par la surpopulation. Que devons-nous faire?

Altéus suivait le groupe barbare depuis deux semaines, ces hommes du Nord n'étaient pas difficiles à tracer, leurs fêtes bruillantes se terminaient toujours en bataille générale, facilitant la poursuite du jeune Corinthien de quinze ans. Les cent chefs barbares avaient quitté Hasenvorg dix-neuf jours auparavant, n'emportant avec eux que leurs armes. Auparavant, aux yeux d'Altéus, ces hommes étaient des ours qui parlaient, gros, poilus, avec des casques primitifs et une démarche lourde, tout prêt de la primitivité, mais aujourd'hui, il comprit qu'il se trompait.Ses hommes étaient brillants, on les aurait dit sortit de l'école de philosophie corinthienne, mais ils venaient tous du Nord, des terres barbares...

Un bruit derrière lui le fit sursauté, mais le coup arriva avant qu'il est pu se retourner. Il tomba dans le noir total...

Dirigants Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 03/09/2007

Avensen, devant les 31 élus et de leur escorte personnel, marchait a bonne allure. Il avait apris, a toujours regarder devant lui sans jamais regarder au sol, signe de faiblesse. Il était capable de sentir la présence des prédateurs et des être vivants qui l'entouraient puisqu'il avait l'audora très développé.

Ils marchèrent, lui et ses hommes, depuis plusieurs jours et il arrivait bientot a la frontière de la Germanie. Pour beaucoup, c'était la première fois qu'ils allaient quitter leur terre natal. Cette terre qui leur avait tant appris et tant donné.

Ce fut a la frontièrent de la Germanie qu'Avensen commença vraiment a sentir une présence. Il savait que quelqu'un les regardait. Est-ce un animal ou un humain, il n'en savait rien. D'un coup brusque, il s'arreta renifla quelque instant l'aire. Une odeur étangèrent s'approchait de plus en plus. Après avoir reniflé, pour la dernière fois l'aire la Germanie, il commença a entendre le bruit de 2 chevaux qui approchaient. Deux hommes arrivaient à toute allure trainant derrière eu, attacher par les pieds a une corde que tenait chaque cavalier, un homme inconsient.

-Sa est quoi! demanda Avensen au cavalier qui venait vers lui.

-Maître, nous croyons qu'il s'agit d'un espion. Nous l'avons trouvé près de la forêt labas.

-Emporter-le!

A ce moment, un des deux hommes parti a rire.

-Chef, on dit emmener-le et non emporter-le.

D'un coup vif, Avensen rentra ces griffes dans la gorge de celui qui avait oser le corriger et le regarda droit dans les yeux. Une rage s'était emparer de lui et il n'entendait même plus les dires des autres qui l'entourait.

-Sa était ta dernière erreur!

Il relâcha alors l'homme qui s'écroula sur le sol, inerte. Il regarda ensuite celui qui était attacher. Il se pencha pour regarder de quoi ce jeune homme avait l'aire et constata qu'il n'avait pas l'aire trop amocher. Puis, après c'être relever, il se tourna vers le deuxieme homme sur sa monture.

-Ah!Donne moi corde retenant lui, je vais surveille lui

-Voila maître.

Ce fut alors ainsi qu'il continuèrent leur chemain, avec un prisonnier, bien surveiller par le chef.

Dirigants Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 03/09/2007

Depuis maintenent 2 heures, Avensen avait sur ses épaules leur prisonnier. Il n'était pas bien lourd, mais bientot il fallait qu'ils s'arrêtent. Avensen ne sentait presque plus ses jambes ce qui était très mauvais signe.

Ils venaient de quitter la plaine et commençaient a longé le fleuve du Rhin et de la forêt d'Ildâwën. Cette frontière naturel délimitait les territoires germanique de leur voisin et ou plusieurs Germains virent la mort plusieurs années avant pour défendre leur patrie contre les envahisseurs, souvent Romain ou Perse.

-Nous arrêtons pour dormir, montez campement et tente, il ne fait pas beau. Je crois que nous aurons un belle orange.

Les 100 guerriers faisant parti de l'expédition ce mirent au travaille. Ils hérigèrent le campement dans une petit clairièrent afin de voir l'ennemi approché. Ils montèrent tous leur tentes autour de celle de leur chef, sans aucun ordre. Celle du chef était toujours énorme puisque c'est là que nous retrouvions normalement le Chef de guerre, le diplomate, le prince et le roi de la tribut.

Avensen n'oublia surtout pas son prisonnier et il l'attacha après un arbre et y posta deux hommes afin de s'assurer qu'il ne s'échape pas. Il choisi deux de ces hommes les plus costaux, Kadaj et Philipoos. Ensuite, il se dirigea vers la rivière afin de s'y laver. Voyant ceci, tout ses hommes virent le rejoindre et part la suite, le tour des femmes.

Philippos qui était assit depuis prés de 2 heure avec son
compatriote Kadaj, il était vraiment engourdi des jambes.
Ils étaient en train de surveiller le prisonnier, sous l’ordre du chef Avensen.

Les deux gardes étaient très costaux, même si philippos était de race naine il était très bâti, au moins, autant que son compatriote Kadaj.

Ils décidèrent donc de trouver un petit jeu amusant pour se dégourdir un peut et réveiller le prisonnier pour que le chef puisse l’intéroger. Philippos qui avait un petit pot de crème qui gardait dans ses poches décida d'en mettre sur les doigts du prisonnier puis ensuite kadaj le chatouilla au visage avec une plume d’aigle trouver dans la forêt pendant le voyage.

Le prisonnier commença donc a ce gratter et de ce mettre de la crème plein le visage involontairement. Les deux gardes s’époumonèrent de rire en regardant le prisonnier se ridiculiser.

Apres une dizaine de minute le prisonnier se réveilla sans se douter de rien. Les deux gardes riaient de plus en plus en le regardant. C’est alors que le garde Philippos dit a Kadaj :

-Le chef voulait que nous allions le prévenir quand le prisonnier allait se réveiller.
-D’accord, vas voir Avensen pendant se temps je vais surveiller le prisonnier
-D'accord j’y coure!
Philippos arriva donc au fleuve et vit le chef qui entourait de femme nue se dandinant près de lui dans la rivière tout en se dénudant devant lui.

-Chef navrer de vous déranger mais le prisonnier est réveiller
-Hum! D’accord laisser moi le temps d’aller mettre mes vêtements et j’arrive
-D'accord je vous attends avec Kadaj.
Avensen lui fit un signe de la tête pour lui dire d’accord et décida donc d’aller les rejoindre malgré le fais qui étais vraiment bien entouré avec toutes ces chères dames.

Dirigants Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 03/09/2007

Après s'être rapidement essuyé, Avensen enfila son manteau de fourrure, reprit ces griffes qu'il rattacha a son poignet et alla rejoindre Philippos et Kadaj prêt du grand chêne ou était attacher leur prisonnier. C'était une belle soirée et il y avait de beau feu ici et là un peu partout dans le campement.

Avensen du traverser celui-ci au complet avant d'arriver au grand chêne fétiche et rabougris. Une fois a cette endroit, il regarda un instant Alteus dans les yeux en lui montrant ces dents.

-Qui toi être?

-Pourquoi je vous le dirais, qu'est-ce que sa peut vous faire?

-Tu n’es pas placer pour discuter.

-Je me nomme Alteus.

-Toi être bien venu parmi nous. Sauf toi être espion et moi détesté espion.

Il y eu un long silence, Avensen regardait un peu partout, l’aire perplexe. Il renifla quelque instant l’air avant de ce mettre sur ces gardes.

-Je sens présence qui aproche.

Les troupes elfiques de Siegfried se préparèrent aussi rapidement possible, ils embarquèrent femmes et enfants dans les charrettes et les hommes montaient à cheval. Les troupes mené par Siegfried se dirigèrent vers le campement pour rencontrer Avensen.

- Nous sommes prêt à partir sur le champ seigneur.

Siegfried regarda les autres seigneur pour ce souvenir des visages qu'il avait rencontré auparavant jusqu'à ce qu'il remarque un visage grec. D'une vivacité étonnante il sauta de son cheval et couru vers ce grec pour lui asséné de toutes ces forces, un coup de poing au visage. Siegfried avait appris le style de combat de l'Orient lointain, sa rapidité égalait celle d'un tigre. Ses enchaînement de coups déconcertait le grec qui ne fit que tomber surpris de cette violente attaque.

- Voleur, corsaire, meurtrier! Je vais te tuer, te mutiler, te saigner à mort!...

Avensen arriva sur les lieux de l'incident et souleva Siegfried, pour lui faire reprendre son esprit.

- Seigfried stop, Alteus ami, grec oui mais bon guerrier je crois, il pourrait utile pour Corinthe.

Même si Avensen voyait en Alteus un espion il s'avait qu'un grec de Corinthe dans les rangs des Germains avait une importance capitale. Il connaissait sans doute les meilleurs emplacements pour fortifier le camp germain.

Sur ce Siegfried retourna auprès de son cheval nommé désormais Sleipnir. Alteus eu peine à ce relever son visage ensanglanté il alla péniblement se laver, mais il boita à cause du sang qui l'empêchais d'avoir une bonne vision.

Dirigants Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 03/09/2007

Avensen aida Alteus a ce relever tout en surveillant les alentours. Il reniflait l'aire comme un chien qui cherche son os. Il sentait une présence qui n'était pas Germaine. Cherchant du regard Siegfried, Avensen aperçu les buissons bouger. Ils n'étaient pas très gros mais bien assez pour que quelqu'un s'y cache pour les espionner.
Au moment où Avensen allait sauter dans les buissons afin de capturer l'espion, 3 hommes en sortirent accompagner de plusieurs flûtiste. Avensen put déduire qu'ils étaient Elfe d'après leurs oreilles et leurs vêtements.

Les flûtiste arrêtèrent au moment ou l'un des 3 hommes prit la parole.

-Je vous pris de bien vouloir accueillir Nogait notre seigneur adoré.

Les flûtiste reprirent de plus belle et un grand nombre d'Elfe sortirent au même moment de la forêt. L'homme a la tête de ces Elfes était sur un grand cheval et avait la tête haute. Il s'approcha d'abord d'Alteus

-Bonjour, je suppose que vous êtes le maître de cette bande de barbare. Au moins vous vous m'avez l'aire bien élever.

-Lui pas être chef, lui être espion, cria Avensen mécontent.

-Ne me dite pas que vous êtes le chef, on aura tout vue! Bon voila, je suis le roi de cette région et vous venez d'y pénétrer, je veux savoir la raison de cette invasion.

-Venait avec moi dans tante pour parler.

-Bien

Puis le roi dénommer Nogait suivit Avensen a travers du camp jusqu'a sa tante où Avensen lui explica la situation. À la suite de ces explications, il prirent un bon repas avant que Nogait lui explique a sont tour qui il est.

Invité

*HRP*

Aye tu veux vraiment que je recommence a faire du RP^_^
Alala sacré Avensen!

PS: J'espère que vous aller me remercier! J'ai perdu 30 minutes à corriger vos RP! Et merde que vous faitent des fautes! Surveiller vos ponctuations messieux,mesdames.

*HRP END*

Invité

Nogait, entrant dans la tente à la suite de Avensen, était suivit d'un diplomate et de 2 archers. Il vit dans cette tente que désordre et désolation, n'osant s'imaginer celle des simples soldats. Il demande alors à l'un de ses archrs d'aller cherhcer des chaise convenable pour eux car celles d'Avensen n'était faitent que de peaux d'ours encore saignante!
*Quel barbare se dit intérieurement Nogait*

Attendant le retour de son soldats avec de chaises convenable en bois de cerisier, il dit à Avensen :

Alors mon chère est-ce cela votre.....votre EMPIRE!?!

Puis voyant l'énorme effort intelectuel que cette question infligait a ce barbare, Nogait attendit, 2 minute plus tard son archer revient avec 2 chaises et alla se reposter près de son compagnon d'armes a l'entré de la tente.

15 minutes plus tard, voyant qu'avensen réfléchisait toujours il se demanda intérieurement.

*Comment avons nous pu créé cette race idiote!*

Un soldat vient alors l'informer que le campement était maintenant construit et opérationnel défensivement en cas d'attaque ennemi.
Puis voyant que cela fesait 2heures que le petit cerveau de se barbare réfléchissait, il dit a l'un de ses soldats.

Faites moi prévenir dès que cette idiot aura trouver la réponse d'ici la moi et se diplomate allons nous promener dans le campement.

Le soldat dit : Oui messieux! A vos ordre messieux!

Dirigants Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 03/09/2007

Avensen était toujours adossé a son siège en peaux d'ours et avait l'aire absent. Il regardait ses cuisse sans dire un mot, la tête bassé en respirant extrémement fort.

L'archer avec lui venait tout juste d'attraper un gros rume et l'envie de tousser était tellement grande qu'il ne put, bientot, plus se retenirent. Bien sur, il serait surement puni pour avoir déranger un chef de tribut entrain de réfléchir, mais là sa en était trop.

Le bruit vint tellement rapidement et bruyament aux oreilles d'Avensen que celui-ci sauta au moin 3 mètres de haut avant de retomber sur son siège.

-Vous avez réveiller moi. Moi faisais beau rêve.

-Pardon monsieur, je ne voulais point vous réveiller. Seulement mon chef attend votre réponse a propos de votre empire.

-hum! oui. Quoi être question.

-Est-ce cela votre empire?

-Qu'est ce que cela pour vous?

-Bien je suppose que c'est ce que nous voyons à l'instant.

-Non, sa pas être empire, sa être Émissaires Germains pour colonniser Corinthe avec arme et technique Germanique.

-Je vois, alors je reviens a l'instant.

Puis l'archer quitta Avensen sur ces mots pour aller trouver son maître.

Admin Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 03/09/2007

Sa vision était floue, il lui était impossible de voir à deux mètres devant lui. Il ne se souvenait plus de ce qui lui était arrivé, seulement du bruit que produisait des jointures d'un barbare sur l'os de sa joue. Mais même cette sensation ne lui était qu'un vague souvenir, comme si des dizaines d'années avaient passé entre le temps qu'il prit pour se relever du sol humide et vaseux des bordures du Rhin et se diriger vers sa tente, si l'on pouvait la nommer ainsi. C'était qu'un simple drap monté sur des branches si frêles qu'un léger coup de vent ferait tomber, mais même là, Altéus n'était pas sûr de ce qu'il voyait, sa vision obstruée par un rideau de sang qui coulait de son front meutri.

Alteus se réveila deux heures plus tard par le bruit des flûtes qui s'éloignaient du campement. Encore étourdi, le jeune homme de 15 ans se dirigea à l'extérieur de sa tente et commenca à marcher, de quoi se remplir la tête d'air froid et pure. Il marcha jusqu'au campement central, là où Avensen et ses conseillers dormaient.

Il entrouvrit la tente du chef barbare et s'infiltra doucement à l'intérieur. Avensen était assi à sa table, l'air penseur, comme si une bête de son espèce avait la facultée de penser...

-Chef Avensen...

Dirigants Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 03/09/2007

Avensen regarda longuement l'homme qui se présentait a lui. Il garga le silence tout au long de cette analyse. Cette homme, dénommer Alteus, n'avait pas l'aire très agé et avait une regard perdu. Il avait les yeux a semi fermé ce qui ne l'avantager pas du tout.

Avensen ce levit, le contourna tout en le regardant, puis retourna s'assoir sur son siège.

-Dit moi, d'ou toi viens et quelle clan fais parti toi.

Invité

Nogait, se promenant a travers le campement, la tête pensive reçu la visite d’un soldat, se soldat était maigre mais semblait avoir tout de même une bonne musculature.
Ce soldat lui dit qu’Avensen était sorti de ses pensés. Se dirigeant vers la tente de celui-ci un soldat lui appris que les barbares avaient capturé un Grec du nom d’Alteus. Il apprit aussi que se Grec se trouvait présentement en présence d’Avensen. Il décida donc d’accéléré le pas vers la tente d’Avensen.

Arrivant devant la tente, il vit que 2 soldat humains lui barrait la route, il fit alors appels a 3 soldats, se qui déclencha un attroupement humanoïde et elfique autour de la tente, des chamaille se produire alors, des combats entre troupes se déclenchèrent alors. Voyant que les soldats humains tentaient de l’atteindre, il fit appel a sa magie, s’élevant dans les airs, déclenchant de fortes rafales de vent et prononça un sort qui fit évanouir tout les soldats humains, puis il dit a ses soldats de tous retourner au campements elfique sauf a 6 soldats, qu’il plaça autour de la tente.

Il entra dans la tente et vit se Grec amocher de la tête au pied qui se tenait devant Avensen, faisant bien attention de ne pas piler sur ses bêtes morte étendu partout il vint a la rencontre des 2 hommes et dit :

Où l’avez-vous trouvé et que faisait-il par ici?

Il dit aussi en attendant leur réponse,

Sire Alteus, d’où provenez-vous et qu’elle était votre but en vous avanturant dans cette région?

Puis un soldat l'informa que Sir Siegfried voulait entrez dans la tente, il lui dit alors qu'il avait son autorisation et il vit entrez quelques secondes plus tard Siegfried, paré de sa plus belle tenue, malgré son aspect rustique.
Alors Nogait lui dit:

Bienvenue a toi Siegfried que pouvons-nous pour vous?

Dirigants Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 03/09/2007

Avensen avait toujours l'air absent et malgré le visage perdu qu'il démontrait, il écoutait très attentivement la conversation. Quand Nogait entra dans la tante, il ne put s'empêcher de sourir en le voyant écarter les jambe afin d'éviter les carcaces a moitier manger qui jonchaient le sol.

-Cette pesonne espionnait nous et grâce a technique de chasseur, nous avons capturer lui. Lui être chanceux d'être grec puisque être la raison pour la quelle nous gardons lui en vie. Il peut être bénéfique pour nous lors de grand bataille.

Maintenent, je crois que nous devons lever camp et continuer route.

Siegried entra dans la tente du chef Avensen et regarda aux alentours, la lumière du feu présenta quelque visage famillier donc Alteus, Avensen et Nogait dont celui ci lui venait de lui adressé la parole.

- Je suis venu voir le seigneur Avensen pour lui apporter des nouvelles de Corinthe. Tout d'abord je tien à me faire pardonner auprès de Alteus, ma rage c'est emporté sans n'avoir fait aucun jugement.

- Chef écoute toi Siegfried. Nouvelles est ?

La difficulté de parler d'Avensen n'avait fait que donner de la confusion dans la tête barbare de Siegfried qui lui fit répété sa phrase. Avec un effort énorme, Avensen réussit a construire une phrase senser et Siegfried comprenna.

- Au oui chef, voici mes nouvelles. Mes éclaireurs mon appris que les portes du royaume Grec ouvrira sous peu pour laisser entrer des peuplades qui doivent célébré la fête de leur empire en leur apportant des cadeaux. Je crois que c'est le moment d'entrer dans ces citées et de... pacifier c'est marchand.

Siegfried devait entrer pour aller chercher celle qui l'aimait, car il venait de découvrir les raisons de cet enlèvement, c'était sans doute pour l'offrir au roi comme 125e femmes.

- Bien, quand le soleil haut sera demain partir, Nogait, prépare armé, Alteus rassemble autres Seigneur, Siegfried, cheval rapide toi rester pour brûler camp et rejoindre nous.

Sur ces ordres, les trois seigneurs sortie et alla préparé leur tâches pour pouvoir partir dès l'aube vers Corinthe.

Dirigants Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 03/09/2007

Le soleil était déja bien haut quand ils partirent enfin laissant seulement les vestiges de leur camp ainsi que la carcarce de plusieure animeaux. Avensen était en tête, à pied, suivi de Alteus. Il voulait en savoir le maximum sur les régions de la grèce avant d'y pénétrer.

Ils marchèrent longtemps, sans arrêt. Avensen regardait toujours devant lui en marchant, certain croyait que c'était pour prévenir les futurs embuscade, mais c'était simple parce qu'il avait apris a regarder devant. Regarder au sol été signe de faiblesse et de soumission.

Plusieurs jour passèrent ainsi avant d'arriver à la frontière de la grèce. Ils établir alors un campement dans un boiser non loin de cette frontière, afin d'y reprendre des forces avant le début de la fin du voyage.

Invité

Nogait, s’avançant dans le camp plein de débris et de carcasse et dit.

Oh, non! Quel désastre! Que ses êtres barbares sont dégoutants!

Puis il dit à ses hommes qu’ils partaient pour Ildâwën.
Les hommes eux se dirigeaient vers Ildâwën et étaient partis il y a de sa 2 jours. Sachant la lenteur humaine les elfes étaient restés au campement plus longtemps, pour mieux planifier l’invasion de Corinthe.

Ses alors que tout les elfes se rassemblèrent au centre du campement qui maintenant n’existait plus, tous portaient des sacs sur leur dos ses alors que Nogait s’avança au devant de ses troupes et dit :
Pour la gloire et pour l’honneur! Pour la joie et la colère! Pour ses pauvres bêtes torturer! Tous pour moi et tous pour Corinthe!!!!!

Et tous commencèrent à courir à un rythme que même un humain aurait cru impossible! Et oui, les elfes couraient a plus de 100km/h se qui dépassait largement la vitesse des chevaux qu’utilisaient les humains et certains elfes.

En un peu moins d’une journée ils avaient dépassé les humains qui eux étaient partis il y a de sa 2 jours et rivière devant l’immense forêt qui séparait Corinthe du royaume germains…Ildâwën…1 jour et demie plus tard, les humains les rejoignirent, il dit a Avensen de le rejoindre pour prononcer une petit discours car après, il ferait un discours d’un tel prestige quel resta gravé dans la mémoire même encore 1000 ans après se fameux discours!

Avensen vient et fait ton discours!

Dirigants Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 03/09/2007

-Discour, moi?

Bon! Bientot nous entrer dans grand pays, Corinthe. Nous ce positionner a endroit différant enfin couvrir beaucoup territoire. Nous leur prenerons tous et ne leur abandonnons rien.

Puis avensen ce retourna, laissant tout le monde derrière lui. Il entendit quelque rire et quelque murmure qui ne le dérangèrent en aucun cas. Il se dirigea vers sa tante ou il alla dormir un peu.