Dans un temps lointain, une contré éloignée ou peu de gens connaissais l’existence de cette civilisation. Les légendes en parlaient comme une civilisation qui aurait était banni par les plus grands dieux nordiques. Certaines laissaient même entrevoir de la folie de la part de leur chef. Son royaume bâtissait de grand mur pour se protéger des dangers qui les guettaient. Danger? Ou simple mythe d’enfant gâté? Personne ne le savait, pas même le chef en personne. Sa population vivait dans la peur, une peur dont même les plus sages n’auraient su combattre. Des ombres plus noirs que l’enfer elle-même flottaient au dessus de la neige qui pesait lourdement sur les toits des maisons du royaume. Un jour un grand maitre qui était d’après la population un élu d’Odin lui-même, escalada les murs fait de roc, creuser depuis des milliers d’année par les nains du royaume. Cet élu, ou même se dieu fut accueilli à coup de fourche, qui d’après eux était les meilleurs armes qu’un royaume pouvait posséder. L’homme habillé d’une tunique blanche dégaina son épée et tua la moitié des villageois courageux certes mais l’intelligence avait disparu avec l’apparition de cette peur qui les rongeais de l’intérieur depuis leur naissance. Valens lui-même du le combattre, il descendit de son château qui était situé sur la plus grande falaise du royaume. Arrivé devant le maitre d’arme en blanc, il put constater l’écriture sur son épée qu’il tenait bien droit prêt à fendre l’air sans la moindre pitié. [color=red]Nous sommes né [color=blue]guerrier, nous mourrons guerrier. Chaque coup de fourche amusait l’héritier des dieux. Valens s’essouffla rapidement et il décida de porter un dernier assaut. Chaque coup porté par Valens était esquivé et suivi d’un solide coup de poing au visage. Le chef tomba a genou et vit l’heure de sa mort arrivé, une mort qui aurait bien pu le soulagé de la souffrance sur cette terre mais L’homme vêtu d’une tunique l’aida à se relever et dit : Je viens vous apprendre l’art de la guerre, rejoignez moi d’abord dans mon alliance, cette alliance faite de maître draconique. Valens fut forcé et ravit d’accepté cette proposition.
Des années entière s’écoulèrent après avoir été suivit un entrainement rude. Valens reçut une lettre, une lettre de son chef même qui lui demanda de déménager en territoire ennemi avec 6 de ses meilleurs guerrier et lui-même, cette demande fut la meilleur dans toute sa vie. Il accepta et reçut toute la gloire qu’un homme peut espérer. Durant plusieurs années, ils déménagèrent d’ennemi en ennemi jusqu’au jour ou il reçut l’ordre de retourner chez lui et d’attendre les prochains ordres. Ses mêmes ordres qu’il attend encore aujourd’hui en espérant de les recevoir. Il attendit si longtemps que son frère Avensen décida de lui proposer de venir avec les tributs de Germain qu’il dirigeait. Valens accepta, cette offre et fut ravit de les servir mais la lueur d’espoir de revoir son ancien maitre était presque éteinte. Son cœur s’assombrissait de jour en jour à la penser qu’il était mort. Les marchands passant devant son royaumes pouvait maintenant lire, tailler à même le rock de ses murs. [color=red]Je suis né guerrier, et je vais mourir guerrier. L’espoir de pouvoir remettre le nous dans cette phrase avait disparu avec les restes de ses amis.