*désoler pour la longueur et pour les fautes*
Dans le village ou vivait Kerosen est sa femme, les bébés de petite taille trouvaient la mort a leur naissance puisque plus tard, ils seraient seulement une faiblesse pour la tribut et ils ne pourraient jamais servir correctement leur chef. Souvent, Nous tranchions la tête de l'enfant et emprisonnions ses parents pour avoir mit au monde un être si faible.
Durant une sombre nuit, la femme de Kerosen mit au monde un petit garçon qu'ils nommèrent Avensen. Petit n'était pas le mot exacte, mais minuscule l'était. Kerosen et sa femme furent tout d'abord surpris de voir la taille de l'enfant. Puis bientôt, se fut la peur qui s'empara d'eux. Il devait cacher l'enfant pour ne pas être fait prisonnier et offert en sacrifice aux Dieux.
La nuit même, ils se débarrassèrent de l'enfant. Ils l'abandonnèrent à la lisière de la forêt là ou les bêtes pourraient le manger.
Les années passèrent, mais à chaque semaine durant, le petit village reçu la visite d'une étrange créature de petite taille. Celle-ci faisait des raids rapides et volait la nourriture qu'elle trouvait tout en effrayant les villageois. Si rapide que personnes ne réussi à l’attraper ou mieux, a l’éliminer.
Un fois, lors d'un de ses raids, la créature croisa le regard de Kerosen qui sursauta sur le champ. Se fut seulement durant une fraction de seconde que leurs yeux se croisèrent, mais kerosen eut le temps de reconnaître la créature qui se présentait à eux depuis plusieurs années. C'était son seul et unique fils qui avait abandonné près de la forêt.
Une dizaines d'année passèrent à nouveau, mais pas un jour sans que Kerosen aye rende visite à son fils dans la forêt pour lui apporter à manger et lui apprendre quelques mots. Malgré sa petite taille, kerosen fût surpris de la force que son fils possédait.
Le jour des 15 ans d’Avensen arriva, Kerosen lui offrit un glaive pour qu’il puisse ce défendre et peut-être même un jour revenir parmi eux au village. Surpris du cadeau qu’il ne connaissait pas vraiment, Avensen l’utilisa comme crayon afin de dessiner sur les arbres.
C’est alors qu’il tentait d’écrire son nom dans un arbre qu’il entendit un rugissement très fort suivis d’un autre. Moins d’une seconde c’était écouler depuis les rugissements et Avensen courrait déja en direction de l’endroit ou ils avaient lieu. Une fois arrivé sur place, il vit une chose affreuse. Sa mère adoptive, une ours, était plaqué contre le sol, inerte, sous le poids d’un autre ours bien plus gros. Enragé comme jamais, Avensen bondi sur le dos de la bête et coup après coup, il tenta de défendre sa mère. Bien vite, il se retrouva sur le dos à son tour et d’un coup de patte l’ours lui arracha son œil droit le faisant souffrir énormément.
Le combat parut long pour Avensen qui souffrait atrocement. Il rassembla tous ses efforts, prit une roche et la tira en plein sur la tempe de la bête. Celle-ci après quelques culbutes, relâcha un dernier soupir.
Après avoir soigné ces blessures, Avensen constata avec tristesse que sa mère adoptive, celle qui l’avait nourri depuis qu’il était jeune, avait rendu l’âme. Pour la première fois de sa vie, il ressentit de la tristesse. Il s’empara de son glaive, dénuda les deux ours de leur fourrure et prit les griffe de sa mère qu’il attacha au bout de ces jointures pour ainsi en faire une arme.
Les jours passèrent et Avensen se confectionna un habit de fourrure. Il en fit aussi un autre, pour son père, celui qui prétendait être le vrai. Après l’avoir fini, il alla lui porter son cadeau, en plein centre du village. Tous furent effrayer de le voir se promenant les rues sans craindre rien n’y personne. Bien vite le chef vint a sa rencontre armer jusqu’aux dents dans le but de lui trancher la tête.
-Tu veux peut-être voir ce que ma hache pense de toi !!!
-Hein ?
-Aller, parle salle bête, je t’intimide peut-être ?
-Ke..rosen ?
-Pardon ? Allons, finissons-en !
C’est après ces mots que le chef Galem fût la pire des erreurs. En montrant sa hache, il regarda Avensen droit dans les yeux ainsi provoquant l’ours qu’il avait été toutes ces années. Les villageois ne voyaient pas de la peur dans le visage d’Avensen, mais bien de la colère.
Avensen s’avança à la course en fermant les poings pour que les griffes qu’il avait attachées à ses mains ressortent le plus possible. Il bondit sur le flan gauche de son adversaire lui rentrant les griffes dans la cuisse. Surpris de l’attaque Galem lui envoya un bon coup de hache dans les cotes brisant quelques unes de celle-ci.
Avensen se releva péniblement, mais sans abandonner le combat. Personne n’avait le droit de le fixer dans les yeux sans permission, encore moins un inconnu qui se croyait dominant. Avec rage et acharnement, il sauta au visage de Galem lui perforant la joue. Galem tenta d’éloigner Avensen, mais plus il forçait, plus sa joue se déchirait. Plusieurs villageoise vomir en voyant ce qui ce montrait a eu, un lambeau de joue et une mâchoire décrocher.
Après avoir réuni tous ses efforts, Galem repoussa Avensen qui n’en avait pas encore fini. Galem n’eut pas le temps de dire ouch qu’Avensen l’attaqua au niveau de la ceinture. D’un coup puissant et précis, Avensen planta les griffes de sa main droite dans les testicules de Galem qui poussa un horrible cri avant de s’évanouir.
Tous partirent a criée de peur et seul Kerosen s’avança vers son fils. Ils se regardèrent longuement sans parler. Les villageois s’approchèrent et s’agenouilla devant Avensen. Kerosen emmena son fils plus loin pour lui expliquer la situation. L’homme ours ne s’avait pas vraiment encore parlé, mais il pourrait surement comprendre les dires de son père.
-Père, toi, fit Avensen en montra l’habit de fourrure qu’il lui avait confectionné.
-Avensen, la situation est grave. Tu viens de tuer le chef de notre village et comme la politique le veut, tu deviens notre nouveau chef.
-Roi ?
-Oui, on peut dire que tu es le roi. Vien, je vais te présenté au village.
Puis, les journées passèrent et Avensen n’eut guère le choix de dirigée la tribut du mieux qu’il le pouvait. Il apprit un peu à parler, mais jamais il ne saura écrire.
Le jour de ces 20 ans, il apprit que tous les plus grands guerriers de la Germanie étaient convoqués au sommet du mont Watzmann, l’un des plus hauts du pays. Lui et kerosen, son père, partirent immédiatement pour l’endroit afin de représenter leur tribut.
Une fois rendu, ils remarquèrent que beaucoup de tribut y été. Du Sud, du Nord, de l’Est et de l’Ouest, ils venaient de partout. Pour la première fois, Avensen n’était pas le seul de petite taille et ceci le réconforta grandement. Tous prirent place sur un siège autour d’une grande table comme jamais ils n’avaient vue.
Ils mangèrent et burent à volonté avant d’amorcer le sujet de cette rencontre, comme le voulait la tradition. Après avoir fait la connaissance de tous les seigneurs, un homme se leva et commença son discour.
-Mes amis, mes ennemis, je vous ai réuni ici, en territoire neutre, afin de vous faire part de mes observations. J’ai remarqué que nous, les tribut germanique, nous nous bâtons entre nous afin d’avoir de plus grand territoire pour notre peuple. Je pense, que nous devrions arrêtes ceci et ce consacré a chercher de nouvelle terre ou pourrait vivre notre peuple. J’ai ici, un carte de la région et j’ai pu remarquer, une baisse de population dans la région de Corinthe en Grèce. Je crois que ce territoire pourrait nous être bénéfique et nous devons, envoyer des hommes pour la conquérir.
-Et que propose tu-dis pour conquérir cette région ? demanda un Elf assit parmi c’est frère d’arme.
-Je propose de faire un duel, bien sur, pas a mort. Un duel où les 31 meilleurs guerriers, pourrait partir avec leur tribut pour conquérir Corinthe au nom des Germains et de La Germanie.
Tous approuvèrent l’idée de l’homme et tous partirent monter leur tante pour la nuit et ce préparer pour le duel du lendemain.
Les duels durèrent une semaine. Ils avaient formé exactement 100 groupes d’une dizaine de personne, et les meilleur de chaque groupes, ferait parti de cette expédition. Tous devait ce battre et prouver leur valeur. Avensen, tant qu’a lui, n’eut pas de problème puisque depuis sa jeunesse, il était confronté à la violence et a la loi du plus fort. Il remporta tout les duels, sans exception et fut même nommer chef de l’expédition.
Les 100 personnes choisi informèrent leur village et prirent 250 personnes exactement afin de parvenir à créer de nouveau petit village dans Corinthe. Certains furent heureux de quitter la Germanie mais pour d’autre, se fut pénible.