Dans une petite campagne du sud de la Germanie, vivait un tout jeune couple d’elfe. Ils venaient tout juste de s’établir dans une petite clairière afin d’y élever une belle et grand famille.
Depuis plusieurs lune, Normire et Dianora essayaient d’avoir des enfants mais sans succès. Ils étaient complètement bouleverser par ce problème et rien ne pourrait plus les rendre heureux dorénavant. C’étaient leur rêve d’avoir une belle petite famille.
Normire avait toujours voulu apprendre a ses enfants les techniques de chasses elfiques et Dianora, elle voulait montrer sont savoir dans la cuisine à ces filles, ainsi que ses petits trucs pour le ménages.
C’était lors d’une marche nocturne qu’ils entendirent les pleures d'un enfant non loin de leur maison. Comme ils étaient seul dans les environs, ceci ne pouvait pas être les voisins.
Normire attrapa son arc et sortie de la maison suivit sur les talons par Dianora, sa femme. Avec leur ouïe très développé en tant qu’Elfe, ils n’eurent pas de misère à trouver l’endroit d’où venaient les cris. Ils coururent écrasant tous buissons et obstacle sur leur chemin. Ils arrivèrent alors au pied d’une grande chaîne bien réputé pour les glands qui y poussaient. Ils y trouvèrent 2 petits garçons et un poupon, en pleure, enroulé dans une couverture.
Durant un instant, Normire pus espérer avoir des enfants honorable a élever même si se n’était pas les tiens. Bien vite cette lueur d’espoir dans ses yeux disparue pour devenir du dégoût.
-Se sont des nains, beurck! Je t’interdis de rentré dans sa dans ma maison.
-Mais voyons chéri, nous n’allons pas les laissées mourir ici les pauvres petits, ils doivent avoir froid.
-Pourquoi fallait-il que sa tombe sur moi. J’ai prié pour avoir des enfants, mais pas des gros nains joufflus.
-Allons, vous deux, vous devez bien savoir parler, demanda Dianora aux deux garçons qui avait l’aire à savoir marcher.
-J’ai froid, répondit de plus vieux.
-Bon, qu’ils viennent avec nous, mais ils seront nourri au pain sec et a l’eau, rien de plus.
Ils retournèrent tous ensemble dans la petite demeure du jeune couple afin de si réchauffer et de manger un petit quelque chose. Durant que les petits nains mangeait, le couple tant qu’a eu, réussirent à trouver un marché afin que Dianora puisse les garder. Normire, voulait bien les garder à une condition, qu’ils travaillent avec lui dans les champs, et qu’ils ne demandent jamais de salaire.
Après une bonne nuit de sommeil, les enfants passèrent à l’interrogatoire. Ils expliquèrent à leur hôte que leur village avait été attaqué et que leur mère les avait abandonnés avant d’être capturé. Ce fût donc sur ces mots que Dianora décida des adoptées.
Plus d’une quinzaine d’années passèrent et ils avaient bien sur tous grandit. Il était maintenant des hommes mesurant tout ou plus 1.30 mètre, une taille raisonnable chez les nains. Ils n’eurent pas eu une enfance rêvée. Leur père adoptif, Normire, les avaient toujours exploités et jamais, ils n’avaient réussi à le rendre fière d’eux.
Ce fut quand ils apprirent le duel pour désigner les guerriers qui irait trouver de nouvelle terre que tout changea. Un petit duel entre les 2 frères et le père afin de désigner qui allait les représenter lors de la réunion au sommet. Mais, avant de partir, il dit aurevoir a son frère, son père et a sa mère et sa soeur qui elle avait, depuis sont tout jeunes âge aider grandement la famille dans les tâches ménagèrent et qui était a se jousr fiancé a un nain qu'elle allait bientot épouser.
Ce fut Philippos, le plus jeune des deux, qui triompha sur son frère et sur son père. C’est donc lui qui fut envoyé au sommet d’un des plus hauts monts de la Germanie. Un grand duel eu lieu et par miracle, Philippos, qui n’avait presque jamais tenu d’arme, le remporta dans sa catégorie. Il fut donc élu ainsi qu’une centaine d’autre guerrier, pour trouver de nouvelle terre à conquérir et c’était vers Corinthe qu’il se dirigeait commander par Avensen, un homme, comme le voulait la légende, qui fut élevé par les ours.
Bien vite, Philippos, fit la rencontre avec Avensen et ce fut alors, le début d’une grand amitié.